La maison de Philippe et son épouse

C’est une « maison de maître » version moderne. Fruit d’une collaboration avec Serge Bruchec, architecte DPLG et ami des maîtres d’ouvrage, j’ai néanmoins conçus les grandes lignes architecturales dans l’esprit bioclimatique. L’architecte a apporté sa note de finalisation au design intérieur / extérieur, puis porté le dossier de demande de permis de construire (+ de 170m²). J’ai ensuite élaboré les prescriptions, le dossier de consultation des entreprises et les plans de principes d’exécution. Serge Bruchec a pour sa part assuré l’appel d’offres, les marchés de travaux et la maîtrise d’œuvre en phase de construction (avec quelques interventions de ma part pour des détails techniques).

C’est une grande maison en brique thermo+de 20cm, isolée par l’extérieur avec 20 cm de laine de bois sous différentes vêtures (enduits, bardages en bois, panneaux décoratifs, pierre de taille). Les menuiseries sont en bois / aluminium, et équipées de triple vitrage. Le chauffage par planchers chauffants et la production d’eau chaude sanitaire sont assurés en base par des panneaux solaires et une petite pompe à chaleur. Une cheminée / insert assure un complément éventuel dans la grande pièce de vie qui abrite cuisine, repas et salon (plus de 70m²). Le renouvellement d’air et la répartition de la chaleur (apports solaires importants + insert) est assuré par une centrale double flux à très haut rendement.

Ce n’est pas, à franchement parler, un modèle de « décroissance », à cause de sa surface habitable importante, mais cette maison reste quand même un exemple en termes de maîtrise de l’énergie et d’utilisation d’éco procédés. En outre un grand soin a été apporté au bien être : gestion des pollutions électromagnétiques, qualité de l’air optimisée, étude géo-biologique, peintures minérales naturelles, etc …

 

C’est une « maison de maître » version moderne. Fruit d’une collaboration avec Serge Bruchec, architecte DPLG et ami des maîtres d’ouvrage, j’ai néanmoins conçus les grandes lignes architecturales dans l’esprit bioclimatique. L’architecte a apporté sa note de finalisation au design intérieur / extérieur, puis porté le dossier de demande de permis de construire (+ de 170m²). J’ai ensuite élaboré les prescriptions, le dossier de consultation des entreprises et les plans de principes d’exécution. Serge Bruchec a pour sa part assuré l’appel d’offres, les marchés de travaux et la maîtrise d’œuvre en phase de construction (avec quelques interventions de ma part pour des détails techniques).

C’est une grande maison en brique thermo+de 20cm, isolée par l’extérieur avec 20 cm de laine de bois sous différentes vêtures (enduits, bardages en bois, panneaux décoratifs, pierre de taille). Les menuiseries sont en bois / aluminium, et équipées de triple vitrage. Le chauffage par planchers chauffants et la production d’eau chaude sanitaire sont assurés en base par des panneaux solaires et une petite pompe à chaleur. Une cheminée / insert assure un complément éventuel dans la grande pièce de vie qui abrite cuisine, repas et salon (plus de 70m²). Le renouvellement d’air et la répartition de la chaleur (apports solaires importants + insert) est assuré par une centrale double flux à très haut rendement.

Ce n’est pas, à franchement parler, un modèle de « décroissance », à cause de sa surface habitable importante, mais cette maison reste quand même un exemple en termes de maîtrise de l’énergie et d’utilisation d’éco procédés. En outre un grand soin a été apporté au bien être : gestion des pollutions électromagnétiques, qualité de l’air optimisée, étude géo-biologique, peintures minérales naturelles, etc …

 

La maison de Sandrine et Louis

Nichée dans un coin calme du fond du Golfe du Morbihan, avec une vue splendide sur la rivière qui s’emplit d’eau de mer à chaque marée montante, cette maison a tout pour plaire. Bioclimatique, bien sûr, super isolée (niveau passif), très vitrée et spacieuse, elle abrite Sandrine et Louis en compagnie de leurs trois enfants. L’architecture est classique dans les volumes mais très tendance au niveau des habillages de façades qui font appel à trois matières et trois couleurs : de l’enduit gris moyen, du bois naturel (bardage en douglas) + une note rouge orangé apportée par des panneaux décoratifs. Les baies en bois aluminium de marque Biber, équipées de triple vitrage, viennent compléter le tableau. La température de confort est assurée été comme hiver, par une centrale double flux thermodynamique.

Nichée dans un coin calme du fond du Golfe du Morbihan, avec une vue splendide sur la rivière qui s’emplit d’eau de mer à chaque marée montante, cette maison a tout pour plaire. Bioclimatique, bien sûr, super isolée (niveau passif), très vitrée et spacieuse, elle abrite Sandrine et Louis en compagnie de leurs trois enfants. L’architecture est classique dans les volumes mais très tendance au niveau des habillages de façades qui font appel à trois matières et trois couleurs : de l’enduit gris moyen, du bois naturel (bardage en douglas) + une note rouge orangé apportée par des panneaux décoratifs. Les baies en bois aluminium de marque Biber, équipées de triple vitrage, viennent compléter le tableau. La température de confort est assurée été comme hiver, par une centrale double flux thermodynamique.

La maison de Marie-Pierre

Après un accouchement difficile du projet,  malheureusement dû (encore une fois !), à des services instructeurs et une administration tatillonne et peu encline à s’ouvrir à l’innovation, cette maison répond parfaitement aux souhaits et besoins de son occupante : n’est ce pas le principal ?

Alliant à la fois la simplicité, mais avec une note de fantaisie grâce à son balcon-terrasse en pignon, et à sa petite verrière, c’est une maison fort agréable où il fait bon vivre. Dans un petit hameau, et donc en pleine campagne, sa propriétaire peut bénéficier de la quiétude d’un petit coin de paradis.

Côté technique, nous sommes une nouvelle fois devant une réalisation très ancrée dans la démarche solaire passive. La recette est toujours la même : des apports solaires importants grâce à de généreuses surfaces vitrées soigneusement orientées au sud, de l’inertie apportée par une importante masse thermique au sol, le tout complété par une isolation d’enveloppe performante et soignée. On rajoute un petit poêle à bûches, et le tour est joué !

Par ailleurs, la distribution intérieure, très ouverte, correspond parfaitement aux désirs et besoins de Marie-Pierre qui, amoureuse de la nature, profite pleinement de la relation intérieur / extérieur très fluide que procure la maison.

 

Après un accouchement difficile du projet,  malheureusement dû (encore une fois !), à des services instructeurs et une administration tatillonne et peu encline à s’ouvrir à l’innovation, cette maison répond parfaitement aux souhaits et besoins de son occupante : n’est ce pas le principal ?

Alliant à la fois la simplicité, mais avec une note de fantaisie grâce à son balcon-terrasse en pignon, et à sa petite verrière, c’est une maison fort agréable où il fait bon vivre. Dans un petit hameau, et donc en pleine campagne, sa propriétaire peut bénéficier de la quiétude d’un petit coin de paradis.

Côté technique, nous sommes une nouvelle fois devant une réalisation très ancrée dans la démarche solaire passive. La recette est toujours la même : des apports solaires importants grâce à de généreuses surfaces vitrées soigneusement orientées au sud, de l’inertie apportée par une importante masse thermique au sol, le tout complété par une isolation d’enveloppe performante et soignée. On rajoute un petit poêle à bûches, et le tour est joué !

Par ailleurs, la distribution intérieure, très ouverte, correspond parfaitement aux désirs et besoins de Marie-Pierre qui, amoureuse de la nature, profite pleinement de la relation intérieur / extérieur très fluide que procure la maison.

 

La maison de Véronique

C’est une de mes toutes premières réalisations, et je dois dire que c’est une de mes préférées. Sa forme triangulaire et son immense verrière en pignon lui donne un aspect très solaire.

 Construite pourtant en 2000, elle affiche des performances auxquelles bien des maisons « BBC » d’aujourd’hui sont incapables de prétendre.

Véritable réceptacle de lumière et de chaleur solaire posé dans un écrin de verdure, elle confirme, années après années, que l’architecture solaire passive à forte inertie est la solution.

Ici, pas besoin de système de chauffage compliqué nécessitant maintenance et remplacement coûteux. 

Un petit poêle assure le complément de chauffage lorsque le soleil ne suffit pas, avec une consommation annuelle qui ne dépasse pas en moyenne les 3 stères.

C’est une de mes toutes premières réalisations, et je dois dire que c’est une de mes préférées. Sa forme triangulaire et son immense verrière en pignon lui donne un aspect très solaire.

 Construite pourtant en 2000, elle affiche des performances auxquelles bien des maisons « BBC » d’aujourd’hui sont incapables de prétendre.

Véritable réceptacle de lumière et de chaleur solaire posé dans un écrin de verdure, elle confirme, années après années, que l’architecture solaire passive à forte inertie est la solution.

Ici, pas besoin de système de chauffage compliqué nécessitant maintenance et remplacement coûteux. 

Un petit poêle assure le complément de chauffage lorsque le soleil ne suffit pas, avec une consommation annuelle qui ne dépasse pas en moyenne les 3 stères.

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La maison de Gérard

Autant le dire tout de suite, c’est une « maison de maître », la plus imposante de toutes mes créations.

Conçue en 2008, cette maison d'exception fait appel à des solutions techniques innovantes, pour l'époque. Elle est construite en briques monomur de 50 cm de largeur, sur une masse thermique active et passive. On y trouve une palette d’équipements qui tirent les performances vers le haut : vmc double flux à haut rendement, menuiseries à triple vitrage, système de récupération et de distribution de chaleur à partir de la cheminée, chauffe-eau solaire.

Côté esthétique, c’est une maison qui présente deux faces à l’architecture radicalement différente. Le sud, très ouvert, comporte de (très) grandes baies insérées dans une façade enduite au mélange traditionnel chaux / sable.

Le nord est habillé entièrement de pierres naturelles et les entourages des quelques ouvertures proviennent de ruines de bâtiments anciens. A la vue de cette façade nord magistrale, la plupart des gens pensent être devant une maison ancienne rénovée, preuve que le travail de maçonnerie est de qualité exceptionnelle.

A l’ouest, elle est complétée par un bâtiment annexe en ossature bois bardée, qui abrite garage et buanderie.

A l’est, une colline artificielle vient mourir en terrasse au niveau du sol de l’étage, apportant une certaine fluidité à cette imposante bâtisse, posée au milieu des pommiers.

Autant le dire tout de suite, c’est une « maison de maître », la plus imposante de toutes mes créations.

Conçue en 2008, cette maison d'exception fait appel à des solutions techniques innovantes, pour l'époque. Elle est construite en briques monomur de 50 cm de largeur, sur une masse thermique active et passive. On y trouve une palette d’équipements qui tirent les performances vers le haut : vmc double flux à haut rendement, menuiseries à triple vitrage, système de récupération et de distribution de chaleur à partir de la cheminée, chauffe-eau solaire.

Côté esthétique, c’est une maison qui présente deux faces à l’architecture radicalement différente. Le sud, très ouvert, comporte de (très) grandes baies insérées dans une façade enduite au mélange traditionnel chaux / sable.

Le nord est habillé entièrement de pierres naturelles et les entourages des quelques ouvertures proviennent de ruines de bâtiments anciens. A la vue de cette façade nord magistrale, la plupart des gens pensent être devant une maison ancienne rénovée, preuve que le travail de maçonnerie est de qualité exceptionnelle.

A l’ouest, elle est complétée par un bâtiment annexe en ossature bois bardée, qui abrite garage et buanderie.

A l’est, une colline artificielle vient mourir en terrasse au niveau du sol de l’étage, apportant une certaine fluidité à cette imposante bâtisse, posée au milieu des pommiers.

La maison de Jeannine et Marcel

Cette fois ci, nous voilà en pleine ville de Lorient, mais néanmoins bien au calme d’une petite impasse : la tranquillité avec toutes les commodités à proximité. Le terrain, très enclavé et difficile d’accès, aux limités complexes, et le règlement d’urbanisme pour le moins peu simple et adapté, ont rendu la conception de cette maison assez « épique ». Heureusement, les maîtres d’ouvrage, très impliqués, ont facilité l’émergence d’un projet remarquable, surtout dans un tel contexte. Les « coquetteries » du règlement d’urbanisme ont néanmoins coûté plus de 30 000€, somme qui aurait été bien mieux utilisée pour aller encore plus loin dans la performance du bâtiment et de ces équipements. Une centrale photovoltaïque aurait pu être au rendez vous pour arriver à un bâtiment 100% BEPOS ! Dommage …

Cette fois ci, nous voilà en pleine ville de Lorient, mais néanmoins bien au calme d’une petite impasse : la tranquillité avec toutes les commodités à proximité. Le terrain, très enclavé et difficile d’accès, aux limités complexes, et le règlement d’urbanisme pour le moins peu simple et adapté, ont rendu la conception de cette maison assez « épique ». Heureusement, les maîtres d’ouvrage, très impliqués, ont facilité l’émergence d’un projet remarquable, surtout dans un tel contexte. Les « coquetteries » du règlement d’urbanisme ont néanmoins coûté plus de 30 000€, somme qui aurait été bien mieux utilisée pour aller encore plus loin dans la performance du bâtiment et de ces équipements. Une centrale photovoltaïque aurait pu être au rendez vous pour arriver à un bâtiment 100% BEPOS ! Dommage …

La Maison d’Annie

Une maison en pleine ville, sur un petit terrain de division de propriété, positionnée au mieux pour profiter du soleil malgré l‘environnement urbain. Briques  « monomur » de 42.5cm, enduits à la chaux, chauffe eau solaire, récupération d’eau de pluie, ventilation double flux, menuiseries Bieber chêne/aluminium à triples vitrages. Aménagements intérieurs et extérieurs réalisés avec beaucoup de goût. Un petit coin de paradis au milieu de l’ «enfer ».

Une maison en pleine ville, sur un petit terrain de division de propriété, positionnée au mieux pour profiter du soleil malgré l‘environnement urbain. Briques  « monomur » de 42.5cm, enduits à la chaux, chauffe eau solaire, récupération d’eau de pluie, ventilation double flux, menuiseries Bieber chêne/aluminium à triples vitrages. Aménagements intérieurs et extérieurs réalisés avec beaucoup de goût. Un petit coin de paradis au milieu de l’ «enfer ».

La maison d’Ivan

Un autre exemple de maison compacte et de surface réduite par rapport à la moyenne de ce qui se construit habituellement. Avec une surface habitable de 95m², cette maison démontre que l’on peut vivre agréablement dans un espace optimisé, à condition qu’il soit ergonomique. Ici, la qualité a primé la quantité dans le cadre d’un budget serré.

Quant aux performances thermiques, elles filent bien au-delà des objectifs réglementaires. Il faut dire que l’enveloppe est très performante, grâce à une structure innovante constituée de poutres en I intégrant une isolation en ouate de cellulose de 38 cm d’épaisseur (toit et murs). Le sol, comme dans beaucoup de mes réalisations est équipé d’une masse thermique isolée qui apporte l’inertie qui fait défaut aux maisons en ossature bois.

L’architecture, très épurée, se contente d’aller à l’essentiel : la fluidité est obtenue grâce à une toiture terrasse sans acrotères (solution pourtant plus couteuse qui alourdit énormément les maisons équipées de ce genre de toitures.

Un autre exemple de maison compacte et de surface réduite par rapport à la moyenne de ce qui se construit habituellement. Avec une surface habitable de 95m², cette maison démontre que l’on peut vivre agréablement dans un espace optimisé, à condition qu’il soit ergonomique. Ici, la qualité a primé la quantité dans le cadre d’un budget serré.

Quant aux performances thermiques, elles filent bien au-delà des objectifs réglementaires. Il faut dire que l’enveloppe est très performante, grâce à une structure innovante constituée de poutres en I intégrant une isolation en ouate de cellulose de 38 cm d’épaisseur (toit et murs). Le sol, comme dans beaucoup de mes réalisations est équipé d’une masse thermique isolée qui apporte l’inertie qui fait défaut aux maisons en ossature bois.

L’architecture, très épurée, se contente d’aller à l’essentiel : la fluidité est obtenue grâce à une toiture terrasse sans acrotères (solution pourtant plus couteuse qui alourdit énormément les maisons équipées de ce genre de toitures.

La maison de Patricia

Mission accomplie pour cette petite maison construite avec un budget serré mais néanmoins conforme à des objectifs de type « maison BBC ». Pas de choses compliquées et sophistiqués néanmoins, mais une implication forte de la maîtresse d’ouvrage qui a pris à sa charge tous les travaux de finitions : carrelages, parquets, lambris, peintures …. Seule solution pour rentrer dans le cadre budgétaire.

Au final, une maison bien agréable à vivre avec de très faibles besoins de chauffage : comme très souvent, un petit poêle à bûches suffit, en complément des apports solaires passifs.

Mission accomplie pour cette petite maison construite avec un budget serré mais néanmoins conforme à des objectifs de type « maison BBC ». Pas de choses compliquées et sophistiqués néanmoins, mais une implication forte de la maîtresse d’ouvrage qui a pris à sa charge tous les travaux de finitions : carrelages, parquets, lambris, peintures …. Seule solution pour rentrer dans le cadre budgétaire.

Au final, une maison bien agréable à vivre avec de très faibles besoins de chauffage : comme très souvent, un petit poêle à bûches suffit, en complément des apports solaires passifs.

Construction neuve

La maison de Freddy et Christine

Réaliser une grande maison aussi sobre qu’une petite, voilà bien l’aspect central qui a guidé mes pas dans la conception de ce bâtiment, en 2008.

L’architecture reste pourtant classique en dehors de la grande verrière qui orne l’avancée en pignon qui fait saillie dans la façade sud. Cette grande verrière, outre son apport important de lumière naturelle, est, avec l’aide des autres baies de la façade sud, la « pompe à chaleur écologique » qui permet de chauffer la maison dont les besoins seront couverts en grande partie grâce aux apports solaires passifs.

Malgré une surface habitable de 230m², la cheminée équipée d’un insert à haut rendement avec distribution d’air chaud vers les zones latérales, suffira à couvrir le reste des besoins de chauffage. Il faut dire que l’enveloppe est isolée de manière très puissante : les murs en brique thermo+ sont doublés par l’intérieur avec 20 cm de ouate de cellulose + fermacell (R total > 6.5), La toiture est isolée par 35 cm de ouate de cellulose (R=8.75). Le sol en terre plein est équipé avec une masse thermique active isolée avec des panneaux de XPS de 10 cm (R = 3.5 pour un DeltaT = 6). Les menuiseries de marque Internorm (Autriche) sont sans doute parmi les plus performantes que l’on puisse trouver sur le marché européen. La gamme utilisée sur ce projet permet d’atteindre une valeur moyenne Uw d’environ 0.70 avec un facteur solaire bien préservé (environ 0.50).

Bénéficiant d’une excellente étanchéité à l’air, et équipée d’un système de ventilation double flux à très haut rendement (de marque ZEHNDER), voilà encore une maison dont les performances sont parées pour rester au top pour longtemps. Il ne lui manque plus que l’adjonction d’un système de production d’électricité (photovoltaïque ou éolienne) pour prendre place dans la cours encore très fermée des bâtiments à énergie positive (BEPOS). Enfin, un système de récupération d’eau pluviale basé sur une cuve de 10m3 complète le tableau.

Réaliser une grande maison aussi sobre qu’une petite, voilà bien l’aspect central qui a guidé mes pas dans la conception de ce bâtiment, en 2008.

L’architecture reste pourtant classique en dehors de la grande verrière qui orne l’avancée en pignon qui fait saillie dans la façade sud. Cette grande verrière, outre son apport important de lumière naturelle, est, avec l’aide des autres baies de la façade sud, la « pompe à chaleur écologique » qui permet de chauffer la maison dont les besoins seront couverts en grande partie grâce aux apports solaires passifs.

Malgré une surface habitable de 230m², la cheminée équipée d’un insert à haut rendement avec distribution d’air chaud vers les zones latérales, suffira à couvrir le reste des besoins de chauffage. Il faut dire que l’enveloppe est isolée de manière très puissante : les murs en brique thermo+ sont doublés par l’intérieur avec 20 cm de ouate de cellulose + fermacell (R total > 6.5), La toiture est isolée par 35 cm de ouate de cellulose (R=8.75). Le sol en terre plein est équipé avec une masse thermique active isolée avec des panneaux de XPS de 10 cm (R = 3.5 pour un DeltaT = 6). Les menuiseries de marque Internorm (Autriche) sont sans doute parmi les plus performantes que l’on puisse trouver sur le marché européen. La gamme utilisée sur ce projet permet d’atteindre une valeur moyenne Uw d’environ 0.70 avec un facteur solaire bien préservé (environ 0.50).

Bénéficiant d’une excellente étanchéité à l’air, et équipée d’un système de ventilation double flux à très haut rendement (de marque ZEHNDER), voilà encore une maison dont les performances sont parées pour rester au top pour longtemps. Il ne lui manque plus que l’adjonction d’un système de production d’électricité (photovoltaïque ou éolienne) pour prendre place dans la cours encore très fermée des bâtiments à énergie positive (BEPOS). Enfin, un système de récupération d’eau pluviale basé sur une cuve de 10m3 complète le tableau.