Réhabilitation de la maison de Charles

Cette maison en pierres est d’abord une affaire sentimentale, puisqu’issue de l’histoire familiale.

Pas question de modifier par trop l’aspect extérieur  que le maître d’ouvrage tient à conserver le plus possible : on ne trouvera donc pas ici de grandes baies vitrées et autres verrières propices pour laisser entrer la chaleur gratuite du soleil et la lumière naturelle.

L’enduit en ciment a été remplacé par de l’enduit respirant à base de chaux + sable. La toiture, vétuste, a été refaite (ardoises naturelles, bien sûr). Toutes les menuiseries ont été remplacées (bois aluminium et double vitrage faiblement émissif avec argon).

Le plus délicat a consisté à « déterrer » la maison, construite sur un terrain en pente. Le sol extérieur, côté pignon ouest, est au niveau du premier étage ! Il a fallu creuser toute la périphérie ouest et nord afin de mettre en place un drainage et assainir des murs très humides. Il a fallu faire des reprises en sous œuvre, car les murs menaçaient de s’écrouler (pas de fondations). Une étanchéité verticale a été mise en place sur les parties de murs enterrées avant de procéder au remblai pour retrouver, à peu de choses près, les niveaux du terrain extérieur d’origine.

A l’intérieur, la dalle existante a été cassée et le sol a été décaissé pour mettre en place un hérisson drainé et ventilé. Cela permet de gérer les problèmes d’humidité et les remontées de radon. Une nouvelle dalle a été coulée sur isolant. Les murs du rez de chaussée (en partie enterrés) ont été isolés avec de laine de bois en laissant une lame d’air ventilée entre la pierre et l’isolant (toujours pour gérer au mieux les problèmes d’humidité). Les murs de l’étage ont été isolés avec de la ouate de cellulose de manière classique. Le plafond de l’étage (sous grenier) est isolé avec de la ouate de cellulose.

Tout l’intérieur a été entièrement démoli et réaménagé (cloisons en fermacell + peintures minérales Keim). Le sol du rez de chaussée est carrelé et celui de l’étage est recouvert de panneaux de fibre de bois + parquet flottant en chêne. L’escalier existant, inadapté, a été remplacé par un nouveau, en chêne. Le chauffage de cette maison bien isolée et très compacte, est assuré par un poêle à bûches. La production d’eau chaude est assurée par un chauffe eau solaire. L’étanchéité à l’air a été très soignée et, ainsi, la ventilation double flux fait son travail de renouvellement d’air dans de bonnes conditions.

Ainsi, cette maison vétuste, comportant trois niveaux, est devenue un nid très confortable. Elle comporte une grande pièce de vie au rez de chaussée, deux chambres et un bureau à l’étage et un grenier non aménagé en combles. Deux wc et une salle d’eau complètent l’ensemble, sans compter un grand bâtiment annexe qui sert de remise et de garage.

Cette maison en pierres est d’abord une affaire sentimentale, puisqu’issue de l’histoire familiale.

Pas question de modifier par trop l’aspect extérieur  que le maître d’ouvrage tient à conserver le plus possible : on ne trouvera donc pas ici de grandes baies vitrées et autres verrières propices pour laisser entrer la chaleur gratuite du soleil et la lumière naturelle.

L’enduit en ciment a été remplacé par de l’enduit respirant à base de chaux + sable. La toiture, vétuste, a été refaite (ardoises naturelles, bien sûr). Toutes les menuiseries ont été remplacées (bois aluminium et double vitrage faiblement émissif avec argon).

Le plus délicat a consisté à « déterrer » la maison, construite sur un terrain en pente. Le sol extérieur, côté pignon ouest, est au niveau du premier étage ! Il a fallu creuser toute la périphérie ouest et nord afin de mettre en place un drainage et assainir des murs très humides. Il a fallu faire des reprises en sous œuvre, car les murs menaçaient de s’écrouler (pas de fondations). Une étanchéité verticale a été mise en place sur les parties de murs enterrées avant de procéder au remblai pour retrouver, à peu de choses près, les niveaux du terrain extérieur d’origine.

A l’intérieur, la dalle existante a été cassée et le sol a été décaissé pour mettre en place un hérisson drainé et ventilé. Cela permet de gérer les problèmes d’humidité et les remontées de radon. Une nouvelle dalle a été coulée sur isolant. Les murs du rez de chaussée (en partie enterrés) ont été isolés avec de laine de bois en laissant une lame d’air ventilée entre la pierre et l’isolant (toujours pour gérer au mieux les problèmes d’humidité). Les murs de l’étage ont été isolés avec de la ouate de cellulose de manière classique. Le plafond de l’étage (sous grenier) est isolé avec de la ouate de cellulose.

Tout l’intérieur a été entièrement démoli et réaménagé (cloisons en fermacell + peintures minérales Keim). Le sol du rez de chaussée est carrelé et celui de l’étage est recouvert de panneaux de fibre de bois + parquet flottant en chêne. L’escalier existant, inadapté, a été remplacé par un nouveau, en chêne. Le chauffage de cette maison bien isolée et très compacte, est assuré par un poêle à bûches. La production d’eau chaude est assurée par un chauffe eau solaire. L’étanchéité à l’air a été très soignée et, ainsi, la ventilation double flux fait son travail de renouvellement d’air dans de bonnes conditions.

Ainsi, cette maison vétuste, comportant trois niveaux, est devenue un nid très confortable. Elle comporte une grande pièce de vie au rez de chaussée, deux chambres et un bureau à l’étage et un grenier non aménagé en combles. Deux wc et une salle d’eau complètent l’ensemble, sans compter un grand bâtiment annexe qui sert de remise et de garage.

Le restaurant du Moulin de Bréhaut

Dans un petit parc de loisirs plein de charme, en pays de Brocéliande,

www.moulindebrehaut.over-blog.com

ce projet de restaurant / crêperie* avec logement de fonction, a été conçue avec mon humble participation par mon collègue architecte urbaniste Stéphan Bonvin

www.unpetitboutdeplanete.fr

Les plans présentés ici sont de sa main. Toute la création architecturale de ce bâtiment lui revient (je suis admiratif car c’est un concepteur très compétent).

Pour ma part, en tant qu’ingénieur conseil, j’ai produit une assistance pour les prescriptions et certains détails techniques. J’ai, entre autres élaboré le dossier de consultation des entreprises (descriptifs et quantitatifs) et orienté le projet afin qu’il puisse respecter le budget.

C’est Nicolas Crussaire (Agence Ar2CO) avec lequel je collabore depuis 2011 qui a assuré la mission de maîtrise d’œuvre d’exécution.

J’en profite pour dire que c’est vraiment un plaisir de travailler à plusieurs sur un projet tel que celui-ci dans le cadre d’une synergie de compétences.

Nota : ouverture du restaurant en juin 2017

Dans un petit parc de loisirs plein de charme, en pays de Brocéliande,

www.moulindebrehaut.over-blog.com

ce projet de restaurant / crêperie* avec logement de fonction, a été conçue avec mon humble participation par mon collègue architecte urbaniste Stéphan Bonvin

www.unpetitboutdeplanete.fr

Les plans présentés ici sont de sa main. Toute la création architecturale de ce bâtiment lui revient (je suis admiratif car c’est un concepteur très compétent).

Pour ma part, en tant qu’ingénieur conseil, j’ai produit une assistance pour les prescriptions et certains détails techniques. J’ai, entre autres élaboré le dossier de consultation des entreprises (descriptifs et quantitatifs) et orienté le projet afin qu’il puisse respecter le budget.

C’est Nicolas Crussaire (Agence Ar2CO) avec lequel je collabore depuis 2011 qui a assuré la mission de maîtrise d’œuvre d’exécution.

J’en profite pour dire que c’est vraiment un plaisir de travailler à plusieurs sur un projet tel que celui-ci dans le cadre d’une synergie de compétences.

Nota : ouverture du restaurant en juin 2017

La maison de Philippe et son épouse

C’est une « maison de maître » version moderne. Fruit d’une collaboration avec Serge Bruchec, architecte DPLG et ami des maîtres d’ouvrage, j’ai néanmoins conçus les grandes lignes architecturales dans l’esprit bioclimatique. L’architecte a apporté sa note de finalisation au design intérieur / extérieur, puis porté le dossier de demande de permis de construire (+ de 170m²). J’ai ensuite élaboré les prescriptions, le dossier de consultation des entreprises et les plans de principes d’exécution. Serge Bruchec a pour sa part assuré l’appel d’offres, les marchés de travaux et la maîtrise d’œuvre en phase de construction (avec quelques interventions de ma part pour des détails techniques).

C’est une grande maison en brique thermo+de 20cm, isolée par l’extérieur avec 20 cm de laine de bois sous différentes vêtures (enduits, bardages en bois, panneaux décoratifs, pierre de taille). Les menuiseries sont en bois / aluminium, et équipées de triple vitrage. Le chauffage par planchers chauffants et la production d’eau chaude sanitaire sont assurés en base par des panneaux solaires et une petite pompe à chaleur. Une cheminée / insert assure un complément éventuel dans la grande pièce de vie qui abrite cuisine, repas et salon (plus de 70m²). Le renouvellement d’air et la répartition de la chaleur (apports solaires importants + insert) est assuré par une centrale double flux à très haut rendement.

Ce n’est pas, à franchement parler, un modèle de « décroissance », à cause de sa surface habitable importante, mais cette maison reste quand même un exemple en termes de maîtrise de l’énergie et d’utilisation d’éco procédés. En outre un grand soin a été apporté au bien être : gestion des pollutions électromagnétiques, qualité de l’air optimisée, étude géo-biologique, peintures minérales naturelles, etc …

 

C’est une « maison de maître » version moderne. Fruit d’une collaboration avec Serge Bruchec, architecte DPLG et ami des maîtres d’ouvrage, j’ai néanmoins conçus les grandes lignes architecturales dans l’esprit bioclimatique. L’architecte a apporté sa note de finalisation au design intérieur / extérieur, puis porté le dossier de demande de permis de construire (+ de 170m²). J’ai ensuite élaboré les prescriptions, le dossier de consultation des entreprises et les plans de principes d’exécution. Serge Bruchec a pour sa part assuré l’appel d’offres, les marchés de travaux et la maîtrise d’œuvre en phase de construction (avec quelques interventions de ma part pour des détails techniques).

C’est une grande maison en brique thermo+de 20cm, isolée par l’extérieur avec 20 cm de laine de bois sous différentes vêtures (enduits, bardages en bois, panneaux décoratifs, pierre de taille). Les menuiseries sont en bois / aluminium, et équipées de triple vitrage. Le chauffage par planchers chauffants et la production d’eau chaude sanitaire sont assurés en base par des panneaux solaires et une petite pompe à chaleur. Une cheminée / insert assure un complément éventuel dans la grande pièce de vie qui abrite cuisine, repas et salon (plus de 70m²). Le renouvellement d’air et la répartition de la chaleur (apports solaires importants + insert) est assuré par une centrale double flux à très haut rendement.

Ce n’est pas, à franchement parler, un modèle de « décroissance », à cause de sa surface habitable importante, mais cette maison reste quand même un exemple en termes de maîtrise de l’énergie et d’utilisation d’éco procédés. En outre un grand soin a été apporté au bien être : gestion des pollutions électromagnétiques, qualité de l’air optimisée, étude géo-biologique, peintures minérales naturelles, etc …

 

La maison de Sandrine et Louis

Nichée dans un coin calme du fond du Golfe du Morbihan, avec une vue splendide sur la rivière qui s’emplit d’eau de mer à chaque marée montante, cette maison a tout pour plaire. Bioclimatique, bien sûr, super isolée (niveau passif), très vitrée et spacieuse, elle abrite Sandrine et Louis en compagnie de leurs trois enfants. L’architecture est classique dans les volumes mais très tendance au niveau des habillages de façades qui font appel à trois matières et trois couleurs : de l’enduit gris moyen, du bois naturel (bardage en douglas) + une note rouge orangé apportée par des panneaux décoratifs. Les baies en bois aluminium de marque Biber, équipées de triple vitrage, viennent compléter le tableau. La température de confort est assurée été comme hiver, par une centrale double flux thermodynamique.

Nichée dans un coin calme du fond du Golfe du Morbihan, avec une vue splendide sur la rivière qui s’emplit d’eau de mer à chaque marée montante, cette maison a tout pour plaire. Bioclimatique, bien sûr, super isolée (niveau passif), très vitrée et spacieuse, elle abrite Sandrine et Louis en compagnie de leurs trois enfants. L’architecture est classique dans les volumes mais très tendance au niveau des habillages de façades qui font appel à trois matières et trois couleurs : de l’enduit gris moyen, du bois naturel (bardage en douglas) + une note rouge orangé apportée par des panneaux décoratifs. Les baies en bois aluminium de marque Biber, équipées de triple vitrage, viennent compléter le tableau. La température de confort est assurée été comme hiver, par une centrale double flux thermodynamique.

La maison de Marie-Pierre

Après un accouchement difficile du projet,  malheureusement dû (encore une fois !), à des services instructeurs et une administration tatillonne et peu encline à s’ouvrir à l’innovation, cette maison répond parfaitement aux souhaits et besoins de son occupante : n’est ce pas le principal ?

Alliant à la fois la simplicité, mais avec une note de fantaisie grâce à son balcon-terrasse en pignon, et à sa petite verrière, c’est une maison fort agréable où il fait bon vivre. Dans un petit hameau, et donc en pleine campagne, sa propriétaire peut bénéficier de la quiétude d’un petit coin de paradis.

Côté technique, nous sommes une nouvelle fois devant une réalisation très ancrée dans la démarche solaire passive. La recette est toujours la même : des apports solaires importants grâce à de généreuses surfaces vitrées soigneusement orientées au sud, de l’inertie apportée par une importante masse thermique au sol, le tout complété par une isolation d’enveloppe performante et soignée. On rajoute un petit poêle à bûches, et le tour est joué !

Par ailleurs, la distribution intérieure, très ouverte, correspond parfaitement aux désirs et besoins de Marie-Pierre qui, amoureuse de la nature, profite pleinement de la relation intérieur / extérieur très fluide que procure la maison.

 

Après un accouchement difficile du projet,  malheureusement dû (encore une fois !), à des services instructeurs et une administration tatillonne et peu encline à s’ouvrir à l’innovation, cette maison répond parfaitement aux souhaits et besoins de son occupante : n’est ce pas le principal ?

Alliant à la fois la simplicité, mais avec une note de fantaisie grâce à son balcon-terrasse en pignon, et à sa petite verrière, c’est une maison fort agréable où il fait bon vivre. Dans un petit hameau, et donc en pleine campagne, sa propriétaire peut bénéficier de la quiétude d’un petit coin de paradis.

Côté technique, nous sommes une nouvelle fois devant une réalisation très ancrée dans la démarche solaire passive. La recette est toujours la même : des apports solaires importants grâce à de généreuses surfaces vitrées soigneusement orientées au sud, de l’inertie apportée par une importante masse thermique au sol, le tout complété par une isolation d’enveloppe performante et soignée. On rajoute un petit poêle à bûches, et le tour est joué !

Par ailleurs, la distribution intérieure, très ouverte, correspond parfaitement aux désirs et besoins de Marie-Pierre qui, amoureuse de la nature, profite pleinement de la relation intérieur / extérieur très fluide que procure la maison.

 

La maison de Véronique

C’est une de mes toutes premières réalisations, et je dois dire que c’est une de mes préférées. Sa forme triangulaire et son immense verrière en pignon lui donne un aspect très solaire.

 Construite pourtant en 2000, elle affiche des performances auxquelles bien des maisons « BBC » d’aujourd’hui sont incapables de prétendre.

Véritable réceptacle de lumière et de chaleur solaire posé dans un écrin de verdure, elle confirme, années après années, que l’architecture solaire passive à forte inertie est la solution.

Ici, pas besoin de système de chauffage compliqué nécessitant maintenance et remplacement coûteux. 

Un petit poêle assure le complément de chauffage lorsque le soleil ne suffit pas, avec une consommation annuelle qui ne dépasse pas en moyenne les 3 stères.

C’est une de mes toutes premières réalisations, et je dois dire que c’est une de mes préférées. Sa forme triangulaire et son immense verrière en pignon lui donne un aspect très solaire.

 Construite pourtant en 2000, elle affiche des performances auxquelles bien des maisons « BBC » d’aujourd’hui sont incapables de prétendre.

Véritable réceptacle de lumière et de chaleur solaire posé dans un écrin de verdure, elle confirme, années après années, que l’architecture solaire passive à forte inertie est la solution.

Ici, pas besoin de système de chauffage compliqué nécessitant maintenance et remplacement coûteux. 

Un petit poêle assure le complément de chauffage lorsque le soleil ne suffit pas, avec une consommation annuelle qui ne dépasse pas en moyenne les 3 stères.

batiments-d-exception-renover-francis-le-bris

La maison de Gérard

Autant le dire tout de suite, c’est une « maison de maître », la plus imposante de toutes mes créations.

Conçue en 2008, cette maison d'exception fait appel à des solutions techniques innovantes, pour l'époque. Elle est construite en briques monomur de 50 cm de largeur, sur une masse thermique active et passive. On y trouve une palette d’équipements qui tirent les performances vers le haut : vmc double flux à haut rendement, menuiseries à triple vitrage, système de récupération et de distribution de chaleur à partir de la cheminée, chauffe-eau solaire.

Côté esthétique, c’est une maison qui présente deux faces à l’architecture radicalement différente. Le sud, très ouvert, comporte de (très) grandes baies insérées dans une façade enduite au mélange traditionnel chaux / sable.

Le nord est habillé entièrement de pierres naturelles et les entourages des quelques ouvertures proviennent de ruines de bâtiments anciens. A la vue de cette façade nord magistrale, la plupart des gens pensent être devant une maison ancienne rénovée, preuve que le travail de maçonnerie est de qualité exceptionnelle.

A l’ouest, elle est complétée par un bâtiment annexe en ossature bois bardée, qui abrite garage et buanderie.

A l’est, une colline artificielle vient mourir en terrasse au niveau du sol de l’étage, apportant une certaine fluidité à cette imposante bâtisse, posée au milieu des pommiers.

Autant le dire tout de suite, c’est une « maison de maître », la plus imposante de toutes mes créations.

Conçue en 2008, cette maison d'exception fait appel à des solutions techniques innovantes, pour l'époque. Elle est construite en briques monomur de 50 cm de largeur, sur une masse thermique active et passive. On y trouve une palette d’équipements qui tirent les performances vers le haut : vmc double flux à haut rendement, menuiseries à triple vitrage, système de récupération et de distribution de chaleur à partir de la cheminée, chauffe-eau solaire.

Côté esthétique, c’est une maison qui présente deux faces à l’architecture radicalement différente. Le sud, très ouvert, comporte de (très) grandes baies insérées dans une façade enduite au mélange traditionnel chaux / sable.

Le nord est habillé entièrement de pierres naturelles et les entourages des quelques ouvertures proviennent de ruines de bâtiments anciens. A la vue de cette façade nord magistrale, la plupart des gens pensent être devant une maison ancienne rénovée, preuve que le travail de maçonnerie est de qualité exceptionnelle.

A l’ouest, elle est complétée par un bâtiment annexe en ossature bois bardée, qui abrite garage et buanderie.

A l’est, une colline artificielle vient mourir en terrasse au niveau du sol de l’étage, apportant une certaine fluidité à cette imposante bâtisse, posée au milieu des pommiers.

Le sémaphore de l’île-de-Groix

Appartenant au Conservatoire du Littoral, cette bâtisse simple et un peu austère d’époque « Vauban » ne demande qu’à servir de nouveau. Abandonnée depuis de longues années, cet ancien sémaphore, aujourd’hui inutile et en cours de délabrement, mérite d’être réhabilité et de servir une nouvelle cause entrant dans l’esprit du service public.

Je suis intervenu, en qualité de spécialiste des éco-solutions et éco-procédés dans le cadre d’un avant-projet de rénovation / aménagement, en collaboration avec une équipe (retenue après concours) pilotée par Jean-François Thellier, architecte.

Les solutions proposées, puis retenues par la maîtrise d’ouvrage, montrent bien l’orientation prise de plus en plus pour aller dans le sens du respect de l’environnement et vers des solutions éco-responsables. Au menu : équipements solaires actifs (chauffage, eau chaude sanitaire, toilettes sèches et phyto-épuration, matériaux bio-sourcés.

En attente de décision, espérons que la réalisation de ce projet aboutisse. Si c’est le cas, l’ancien sémaphore reprendrait du service en proposant un gîte d’accueil pour randonneurs, service totalement absent sur l’Ile de Groix.

Appartenant au Conservatoire du Littoral, cette bâtisse simple et un peu austère d’époque « Vauban » ne demande qu’à servir de nouveau. Abandonnée depuis de longues années, cet ancien sémaphore, aujourd’hui inutile et en cours de délabrement, mérite d’être réhabilité et de servir une nouvelle cause entrant dans l’esprit du service public.

Je suis intervenu, en qualité de spécialiste des éco-solutions et éco-procédés dans le cadre d’un avant-projet de rénovation / aménagement, en collaboration avec une équipe (retenue après concours) pilotée par Jean-François Thellier, architecte.

Les solutions proposées, puis retenues par la maîtrise d’ouvrage, montrent bien l’orientation prise de plus en plus pour aller dans le sens du respect de l’environnement et vers des solutions éco-responsables. Au menu : équipements solaires actifs (chauffage, eau chaude sanitaire, toilettes sèches et phyto-épuration, matériaux bio-sourcés.

En attente de décision, espérons que la réalisation de ce projet aboutisse. Si c’est le cas, l’ancien sémaphore reprendrait du service en proposant un gîte d’accueil pour randonneurs, service totalement absent sur l’Ile de Groix.

Le château de Thouare-sur-Loire

Transformer certaines pièces en salles de réception.

Travailler sur un château, grand bâtiment d'exception, ne peut que combler l’admirateur de beaux ouvrages que je suis. C’est dire que l’intervention réalisée dans le cadre de l’aménagement / restructuration d’une des 2 ailes de ce château des 17 / 18 ème siècle est passionnante au plus haut point.

Transformer certaines pièces en salles de réception, d’autres en chambres d’hôtes, l’ensemble doté d’équipements sanitaires et techniques adaptés et performants, sans défigurer l’intérieur et l’extérieur de bâtiments qui méritent d’être respectés, reste un challenge exigeant.  J’ai donc élaboré et proposé dans le cadre d’une étude de faisabilité, des solutions cohérentes que ce soit pour le chauffage, la production d’eau chaude, la ventilation etc. Bien sûr, les solutions et les matériaux prescrits (isolation, cloisons, menuiseries …) sont regardés d’un point de vue écologique.

Transformer certaines pièces en salles de réception.

Travailler sur un château, grand bâtiment d'exception, ne peut que combler l’admirateur de beaux ouvrages que je suis. C’est dire que l’intervention réalisée dans le cadre de l’aménagement / restructuration d’une des 2 ailes de ce château des 17 / 18 ème siècle est passionnante au plus haut point.

Transformer certaines pièces en salles de réception, d’autres en chambres d’hôtes, l’ensemble doté d’équipements sanitaires et techniques adaptés et performants, sans défigurer l’intérieur et l’extérieur de bâtiments qui méritent d’être respectés, reste un challenge exigeant.  J’ai donc élaboré et proposé dans le cadre d’une étude de faisabilité, des solutions cohérentes que ce soit pour le chauffage, la production d’eau chaude, la ventilation etc. Bien sûr, les solutions et les matériaux prescrits (isolation, cloisons, menuiseries …) sont regardés d’un point de vue écologique.

Extension et agrandissement de la maison d’Yves et Véronique

(Re)construire une petite maison pleine de charme

Comment à partir d’une ruine, (re)construire une petite maison pleine de charme, pouvant accueillir une famille ? Encore un challenge passionnant dans un cadre budgétaire serré qui rime avec rénovation, extension et/ou l'agrandissement.

La partie existante en pierres étant en très mauvais état, sera consolidée presque entièrement. La charpente et la toiture, écroulées, seront refaites. Une petite extension viendra compléter l’existant pour permettre d’avoir le nombre de pièces suffisant pour abriter la famille, confortablement. L'agrandissement, sera géré en partie en briques monomur enduites afin de respecter l’architecture de la façade principale, et le reste sera traité en ossature bois. Ce « mélange des genres » fait bon ménage, en mariant enduits traditionnels à la chaux et bardages naturels. Matériaux écologiques et bonne isolation ont fait de cette ruine, un habitat simple et chaleureux, agréable à vivre en toutes saisons.

(Re)construire une petite maison pleine de charme

Comment à partir d’une ruine, (re)construire une petite maison pleine de charme, pouvant accueillir une famille ? Encore un challenge passionnant dans un cadre budgétaire serré qui rime avec rénovation, extension et/ou l'agrandissement.

La partie existante en pierres étant en très mauvais état, sera consolidée presque entièrement. La charpente et la toiture, écroulées, seront refaites. Une petite extension viendra compléter l’existant pour permettre d’avoir le nombre de pièces suffisant pour abriter la famille, confortablement. L'agrandissement, sera géré en partie en briques monomur enduites afin de respecter l’architecture de la façade principale, et le reste sera traité en ossature bois. Ce « mélange des genres » fait bon ménage, en mariant enduits traditionnels à la chaux et bardages naturels. Matériaux écologiques et bonne isolation ont fait de cette ruine, un habitat simple et chaleureux, agréable à vivre en toutes saisons.